Libre opinion

REPONSES DU PROJET DU CANDIDAT N°1 ANICET GEORGES DOLOGUELE

Par Wilfriedo Mescheba

Réponses du projet du candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE
Aux
Sept (7) questions qui s’imposent à tous les candidats à la présidentielle

Questions posées dans un article de « LES PLUMES DE RCA »

Vous avez le mérite d’interpeller tous les candidats avec ces sept  (7) questions qui résument bien les maux qui gangrènent la Centrafrique. Répondre ces questions revient à synthétiser un vaste projet cohérent et précis qui est nécessaire à la relance du pays. Les éléments ci-après ont vocation à répondre de façon concise et claire à vos questions, qui j’en suis persuadé sont partagés par tous  nos compatriotes.

Pour les détails, je vous invite à vous pencher sur le projet en lui-même et sur la vision du candidat afin d’en mesurer toute la teneur et la justesse.

1- Ces dernières décennies, les Centrafricains ont véritablement souffert des comportements des des membres de la famille présidentielle qui se croient tout permis et interférent dans la gestion de la chose publique. Ce qui est inadmissible dans une démocratie. Le Centrafricain a aujourd’hui horreur d’une famille présidentielle qui lui fera ombrage et s’arrogera certaines prérogatives au mépris de toutes les règles d’un état de droit. Une fois au pouvoir, seriez-vous en mesure de mettre votre famille au pas ?

Cette question est essentielle pour la cohérence de l’action politique du futur président de la république. Car la succession des « Familles Présidentielles », dont les pouvoirs étaient quasiment royaux, a contribué grandement à créer le rejet du politique par le peuple. Le futur pouvoir devra être incarné par celui en qui le peuple a fait confiance, et non par ses proches.

Tous les compatriotes savent que le candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE n’a nullement besoin de mettre sa famille au pas. Car, ses actes ont depuis mis en évidence  son schéma décisionnaire, selon lequel  « Seule la compétence prime ». Les affaires politiques et à fortiori celles de l’Etat n’ont pas à être polluées par des affaires familiales.

Monsieur Anicet Georges DOLOGUELE a construit son offre politique avec le soutien des centrafricains, toutes origines confondues. Vous noterez qu’aucun autre DOLOGUELE ne figure parmi les cadres qui entourent le candidat, ni ne manifeste ostensiblement son soutien au candidat. Cette ligne de conduite ne date pas d’aujourd’hui, les expériences du passé montrent que dans toutes les fonctions qu’il a assumées en tant que ministre, premier ministre et à la BDEAC, monsieur Anicet Georges DOLOGUELE a toujours promu « l’homme qu’il faut à la place qu’il faut ».

Monsieur Anicet Georges DOLOGUELE en tant que républicain et démocrate, fort de ses convictions tient à garder cette ligne de conduite une fois président.

2- Le vivre ensemble, la justice sociale et la bonne gouvernance sont autant de défis qui s’imposeront aux prochaines autorités de Bangui. Vu la gravité et l’urgence de la situation, que proposez-vous concrètement comme palliatif face à ces véritables défis de société ?

Vous abordez là, trois points intimement liés qui détermineront l’ancrage du pays dans la voie du développement. En effet, le futur président de notre pays héritera d’un Etat sous perfusion dont les premiers remèdes seront la Cohésion Nationale, la Bonne Gouvernance et la Justice Sociale.

1. Le vivre ensemble

Notre cohésion sociale a toujours été mise à mal par des volontés politiques malsaines, qui ont cru voir dans la diversité des sociétés centrafricaines, autant de lignes de fractures. C’est faux. Cette analyse erronée,  a été le moteur de stratégies de confiscation du pouvoir, ou plus récemment d’accession au pouvoir. Mais, c’est sans compter le désir commun du peuple de vivre en paix et de vaquer paisiblement à ses occupations.

Le peuple centrafricain est naturellement pacifique. La récente visite du Pape à Bangui, les efforts des associations et ONG ne cessent de démontrer la volonté des centrafricains à vivre en paix. Tout au long de la crise que nous traversons, nous avons tous été témoins des manifestations spontanées d’entraide entre les civils opposés par les analystes, car pris en otage par des chefs de guerre. Il appartient au futur président du Pays et à son gouvernement d’amplifier ces élans pacifiques.

Le candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE considère pour sa part que la cohésion nationale ne peut être gagnée que  par la mise en œuvre de mesures fortes et justes applicables partout en Centrafrique. Son programme comporte entre autres préconisations :

  • Une urgente mise en œuvre du Désarmement, de la Démobilisation, de la Réinsertion, et du rapatriement (DDRR) des combattants ;
  • La création d’une commission nationale vérité et réconciliation ;
  • La création dans chaque ville ou village d’un comité local permanent de réconciliation nationale ;
  • La construction dans tous les grands centres urbains, d’un mémorial en souvenir des victimes ;
  • La promotion d’échanges interculturels, sportifs entre les différentes communautés de Centrafrique ;
  • L’exclusion des criminels de guerre de toute mesure d’amnistie ;
  • Une meilleure implication des femmes dans les missions de paix et de réconciliation ;
  • Un rapatriement et une réinstallation ordonnés, efficaces des déplacés internes et externes. Les réinstallations seront soutenues par une batterie d’aides dont un soutien au relogement ;
  • Etc.

Toutes ces mesures ont vocation à panser les blessures, de permettre aux Centrafricains de recouvrer une paix durable, et d’envisager ensemble la reconstruction du pays. Les mesures de justice seront appliquées de façon à garantir la restauration de la paix. Quant aux mesures d’accompagnement, elles seront appliquées proportionnellement aux préjudices subis.

 2. La Bonne Gouvernance

Le climat des affaires en Centrafrique est miné par la mauvaise gouvernance, le népotisme, le clientélisme et une illisibilité de la stratégie globale de développement du pays.  Tous ces écueils font du pays une des pires destinations pour les investisseurs selon les normes internationales. Même les centrafricains préfèrent investir à l’étranger.

Le  Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE conscient de ce problème a inscrit dans ses priorités, la mise en œuvre des mesures de confiance pour garantir un meilleur développement économique du pays. Ses préconisations comportent :

  • v  La création d’un observatoire de la Bonne Gouvernance : organisme indépendant  chargé de traquer la corruption ;
  • Les offices de contrôle (Inspection générale d’Etat, Cours des comptes …) feront de façon systématique les contrôles nécessaires pour une gouvernance saine ;
  • La modernisation du service public, à l’aide des nouvelles technologies de l’information, afin de garantir la traçabilité des opérations de l’administration ;
  • Le renforcement qualitatif de la justice en personnel et en infrastructure pour offrir aux justiciables une justice impartiale et rapide ;
  • L’assouplissement des formalités administratives pour les entreprises ;
  • La création d’une Ecole Nationale d’Administration : Chargée de former les cadres de l’administration ;
  • L’obligation pour les plus hautes personnalités de l’Etat à déclarer leur patrimoine en début et en fin de fonction ;
  • Etc.

Pour un développement intégré du pays, toutes les mesures doivent être prises pour garantir la transparence des opérations de l’Etat. Ce n’est qu’à cette condition que nous pourrons gagner la confiance des partenaires du pays et susciter l’investissement privé.

3. La justice sociale

Les centrafricains ont depuis toujours le sentiment que l’accès à l’emploi, à la justice, à l’électricité ; Bref, que pour vivre décemment il faut appartenir à la famille des décideurs du pays. Ce constat est partagé par le Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE. Il partage aussi le constat selon lequel l’« injustice sociale » a favorisé l’enrôlement massif des compatriotes défavorisés dans les actes de déstabilisation ce qui alimente le cycle de violence que connait le pays.

Le Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE considère que promouvoir une justice sociale c’est avant tout garantir à tout Centrafricain les mêmes droits et devoirs.  Pour cela, il s’engage à mettre un plan de sauvetage du pays qui devra à terme offrir à chacun, entre autres gains:

  • Une rétribution à la hauteur de l’effort consentit, avec pour mot d’ordre « A travail accompli, salaire équitable » ;
  • Un système de santé capable de régler le déficit démographique du pays, dont l’une des mesures phare est « la gratuité des soins à la naissance » ;
  • Une agriculture diversifiée, capable de nourrir qualitativement le pays et la sous-région tout en contribuant à l’émergence d’une classe moyenne agricole : Ce projet sera mis en œuvre dans un vaste programme agricole appelé « Mossoro ti Yaka » ;
  • La création d’un Fonds Centrafricain pour la Finance Inclusive : il fournira à tout citoyen, même aux plus pauvres les services financiers, non financiers pour le développement et la consolidation de leurs activités ;
  • La création de nouvelles règles et la stricte application de textes qui régissent l’accès au service public ;
  • Un plan de logement social baptisé « SEWA OKO NA DA TI LO »  sera mis en œuvre pour offrir à chaque ménage un logement décent.
  • Etc.

Le Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE propose de remettre au travail tous les compatriotes. Car, notre pays regorge d’assez de ressources pour que chacun développe une activité afin de nourrir sa famille. Il appartient à l’Etat de doter le pays d’infrastructures pour garantir la circulation des biens et des personnes afin de faciliter l’écoulement des produits. Pour cela, un vaste plan de désenclavement intérieur et extérieur du pays sera mis en œuvre.

3- Sur un échantillon de 15 000 étudiants, seuls 2000 sont boursiers. La grande majorité des étudiants abandonnent les études faute de soutiens scolaires. Aviez-vous dans votre valise politique une solution idoine pour lutter contre le décrochage scolaire ?

Le décrochage scolaire n’est pas seulement lié aux mesures sociales qui accompagnent les apprenants. Beaucoup d’autres raisons, à savoir l’adéquation des programmes, la vétusté des infrastructures, les effectifs dans les salles de cours, la distance domicile et l’école, s’ajoutent à la pauvreté pour expliquer le niveau de décrochage scolaire.

En Centrafrique, malheureusement, les programmes sont majoritairement axés sur l’enseignement fondamental. Les jeunes qui ont la fibre professionnelle sont contraints à de longues études théoriques, dont ils ont du mal à percevoir l’intérêt. Ceux par contre, qui aspirent à de longues études sont contraints à étudier dans des salles pléthoriques qui regroupent tous les niveaux de connaissance. A ces difficultés, s’ajoute la non-conformité des programmes avec les évolutions techniques et technologiques dans le monde. Toutes ces difficultés finissent par avoir raison des vocations.

Le  Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE estime nécessaire, une refonte du système éducatif pour offrir aux apprenants les meilleures conditions d’études. Ceci en adéquation avec leurs propres aspirations. Pour cela, il a inscrit dans son programme entre autres mesures :

  • La construction de nouvelles infrastructures scolaires : bâtiment pour désengorger les salles de classe existantes, amener l’éducation nationale dans chaque centre urbain, offrir des bibliothèques aux jeunes  etc.;
  • Le renforcement de la formation professionnelle : chaque jeune doit pouvoir apprendre le métier (maçonnerie, soudure, électricité,  plomberie, commerce, agriculture etc.) auquel il aspire ;
  • Le renforcement de la formation des enseignants : ils doivent être à jour des techniques et technologies afin de dispenser des formations en adéquation avec le marché de l’emploi ;
  • Le soutien massif aux structures sociales (Bourses, logement, Restauration, santé etc.) qui accompagnent les apprenants les plus défavorisés tout au long de leur cursus ;
  • Le développement des nouvelles technologies de l’information dans les établissements : les apprenants pourront ainsi mettre à profit les ressources documentaires en ligne pour parfaire leur culture.
  • Etc.

Le système éducatif a été pensé de manière à s’inscrire dans la stratégie globale de développement  du pays. Car nombre d’investisseurs se plaignent du manque de personnels qualifiés susceptibles de mener à bien des projets professionnels. En outre la RCA regorge d’innombrables ressources dont l’exploitation nécessite une main-d’œuvre locale de qualité.

4- L’injustice sociale a occasionné le déferlement de la coalition séléka sur Bangui. Il se pourrait que les victimes de « Tongo Tongo » (LRA de Joseph Kony) en fassent autant d’ici demain. Puisque, gouverner c’est prévoir, que préconisez-vous si jamais vous deveniez le prochain président centrafricain ?

L’un des premiers défis du Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE, sera de stabiliser durablement le pays. Il faudrait pour cela reconstruire Les Forces De Défense Et De Sécurité pour qu’enfin, elles apportent la quiétude au peuple centrafricain.

Une analyse des crises qui ont émaillé le pays montre que les foyers de déstabilisation les plus nocives se sont consolidées dans les zones « Abandonnées » par le pouvoir central. En outre les bandes armées étrangères profitent de la faiblesse de notre armée pour opérer des incrustions sur le territoire national.

Une réforme efficiente des Forces De Défense Et De Sécurité devra permettre à l’état, d’affirmer son autorité sur toute l’étendue du territoire centrafricain.

Le Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE s’engage à produire dans les trois (3) mois qui suivront son accession au pouvoir un « livre Blanc » dont le principal objectif sera de :

  • Doter à terme le pays d’une armée nationale de métier, fière, républicaine, équipée, disciplinée, opérationnelle, déconcentrée ;
  • La répartition du pays en Zones de défense autonomes : Chacune étant suffisamment équipée pour assurer les missions régaliennes qui lui seront assignées ;
  • Reconstruire qualitativement une gendarmerie nationale, pluridisciplinaire qui assurera ses missions efficacement, car pourvue en personnel hautement qualifié et entrainé ;
  • Doter le pays d’une police nationale selon les standards internationaux ;
  • Doter les forces de défenses et de sécurité de logements de fonction ;
  • Fixer les objectifs et un chronogramme des réformes : effectifs, qualité de formation,
  • Etc.

Le seul rempart du pays face aux multiples périls qui guettent la relance économique voulue est une restauration du bras armé de l’Etat selon les standards internationaux. Il ne s’agit pas seulement de se défendre contre la LRA, mais d’offrir au pays un  vaste plan de défense de ses intérêts, à savoir :

  • La lutte contre le braconnage ;
  • La restauration de la sécurité (effets à long terme de la prolifération des armes de petit calibre) ;
  • La prévention d’actes de déstabilisation ;
  • La protection des zones d’exploitations minières ;
  • Une meilleure gestion des opérations de police judiciaire ;
  • Etc.

La mise en œuvre de ce projet va se baser sur l’ensemble des programmes, financements, et résolutions existantes. Le Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE  s’engage à veiller à une mise en œuvre de ce projet selon un chronogramme compatible avec les mesures de reconstruction qu’il s’est assigné.

5- Face aux multitudes de candidatures, l’offre politique sera un facteur clé pour remporter les prochaines élections. Que proposez-vous aux centrafricains pour éradiquer les maux récurrents qui gangrènent la société centrafricaine et sortir définitivement de ce qu’il convient d’appeler la malédiction des 10 ans résultante de la mauvaise gestion, la mauvaise répartition des richesses et l’extrême pauvreté de la population ?

Le Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE  propose au peuple centrafricain un plan de reconstruction du pays dont le principal objectif  est de le faire passer de la phase de l’assistanat à une phase de développement durable. Ce projet se décline en quatre (4) piliers :

I.  La reconstruction des bases d’une nation en paix, et d’un Etat de Droit moderne et fort ;

II.  La construction d’une économie dynamique et intégrée, qui attire les investisseurs, sécurise le secteur privé, crée des richesses et des emplois ;

III.  La mise en place de conditions nécessaires pour une croissance forte et durable ;

IV.  Amélioration des conditions de vie des populations et la préparation de l’avenir des enfants de la nation.

La mise en œuvre des mesures qui constituent ces piliers va fédérer le peuple Centrafricain autour d’un but commun. Une gestion transparente de la chose publique permettra au peuple de mesurer tout au long du mandat les réalisations du gouvernement et l’amélioration de ses conditions de vie.

La malédiction des 10 ans comme vous le dites, résulte de la lassitude du peuple face à des régimes qui formulent des belles promesses dont la non-application finit par le détourner du pouvoir en place.

Le Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE, conscient de ce phénomène propose au peuple une démarche coordonnée et inclusive, pour que chacun s’approprie à termes les résultats.

6- En dehors de l’aide budgétaire que la Communauté Internationale accorde constamment à la Centrafrique, le pays ne vit que d’une assiette fiscalo-douanière. Admettons que les partenaires impliqués dans la crise actuelle suspendent cette aide salvatrice, comment compteriez-vous financer vos projets de société et surtout faire face aux dépenses de fonctionnement, plus particulièrement les salaires ?

La communauté internationale ne va pas indéfiniment soutenir notre pays. Il est temps que les Centrafricains prennent en main leur destin et décident de leur avenir. La faiblesse économique de notre état tient aussi du manque de clairvoyance dans les stratégies de développement du pays.

Le Candidat N°1 Anicet Georges DOLOGUELE, considère qu’il est temps pour nous, centrafricains, de nous prendre en charge et de définir les meilleures orientations pour garantir notre autonomie.

La destruction du tissu économique nous oblige dans un premier temps à demander une aide aux partenaires de la RCA. Il ne s’agit pas seulement de demander mensuellement une rallonge budgétaire pour financer les salaires.

Un plan de sauvetage dont les principaux axes figurent dans le programme du candidat, réunit un ensemble d’actions à mener pour enfin, assurer l’autonomie de notre pays. Son financement à hauteur de 2 000 Milliards de FCFA (Env. 3 Milliard €), sera sollicité auprès des partenaires du pays. Il servira notamment à mettre en œuvre les mesures urgentes.

D’autres mesures telles la construction d’infrastructures seront construites avec l’aide du partenariat public-privé selon la formule Buld Operate and Transfer (BOT). Ce type de partenariat est très favorable pour un pays comme le nôtre, car à terme il profitera de la pleine exploitation des infrastructures construites.

Enfin toutes les mesures ne nécessitent pas forcément un financement. La réorganisation de l’administration et les mesures de lutte contre la corruption se feront sans financement extérieur et permettront d’augmenter les recettes de l’Etat. Ce n’est que de cette manière que le pays pourra enfin se relever et envisager sereinement sa longue reconstruction.

7- Sous les transitions de Djotodia et Samba-Panza, plus de 4000 fonctionnaires ont été intégrés dans l’administration centrafricaine. Ces derniers travaillent depuis lors sans solde. A ce qu’il parait, la Communauté internationale refuse de prendre leurs traitements et salaire en compte. Quelles dispositions prendrez-vous rapidement pour éviter un malaise social si vous accédez au pouvoir ?

Il est difficile de mesurer l’impact de ces intégrations. La réforme de l’administration tiendra compte des effectifs de l’Etat et de la qualité du personnel. Si les 4000 fonctionnaires récemment intégrés dans la fonction publique, l’ont été sur des critères objectifs, il faudra alors les traiter comme tout autre fonctionnaire.

Toutefois, les dossiers des personnels non qualifiés aux postes qu’ils occupent seront  traités au cas par cas. Enfin, le personnel fictif sera tout simplement rayé de la liste des fonctionnaires de l’état.

Pour plus de détails, je vous invite à consulter le site du candidat www.anicetdologuele.com.

Wilfriedo Mescheba
Direction Nationale de Campagne d’Anicet Georges DOLOGUELE
Conseiller en charge du Projet Présidentiel

Commentaires

0 commentaires

@Lesplumes

www.facebook.com/lesplumesderca - www.twitter.com/lesplumesderca

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Bouton retour en haut de la page