POÈME: SOLEIL ET VOLCAN
Ô mon Poète !
Ô mon Griot !
Mon Troubadour !
D’un noir cyprès, charme de mes jours
…………………………………………………………………………………………
Nous ravirons ensemble aux planètes
cette sirène qui, de la géhenne vient
d’où le soleil et l’océan s’étreignent,
effleurant les côtes africaines
…………………………………………………………………………………………
Les côtes africaines où tout est beau
car tout est soleil.
Visitons le passé,
et découvrons la mare aux lutins !
……………………………………………………………………………………….
Mare faite de larmes des roses,
loin des choses immondes.
La sirène déjà s’envole,
le coeur serein.
…………………………………………………………………………………………
Ô mon Poète !
Vois-tu ?
Ton idéal est si beau.
Bientôt la contemplation se change en méditation ;
……………………………………………………………………………………….
L’appel de l’Universel est doux,
comme un vent dans les roseaux.
Ton empathie s’enracine dans la générosité des nations.
Malgré les temps des navires infâmes…
………………………………………………………………………………………..
Toujours t’enflammant pour des idées généreuses,
grâce à une intuition alerte,
tu craches sur la berge la chair de lys de la véeité.
Loin des petites berges malheureuses.
…………………………………………………………………..
Tu associes les mots,
d’où naissent les images de l’été.
Loin de Styx, demeurons ensemble pour l’éternité,
et buvons dans la coupe en onyx pleine d’émotion rt de beauté
Poème extrait du Recueil, « La Muse des lycaons » éditions La bartavelle
Commentaires
0 commentaires