EN VEDETTE
DU FOND DU CŒUR JE VOUS DIS MERCI… ET QUE LA VIE CONTINUE !
À chacun de vos messages de souhait d’anniversaire reçu, j’ai tenu à répondre de manière particulière, et je continue a le faire. Du fond du cœur, je voudrais ici, adresser simplement et humblement à tous, collectivement, mon plus GRAND MERCI.
MERCI…voilà le mot magique ! Mot très PAUVRE s’il en est, mais mot tout aussi très RICHE si l’on veut.
Pauvre, « MERCI » est l’expression parfaite et l’exemple remarquable des limites du vocabulaire humain.
Combien de fois n’avions nous pas voulu dire – pour une raison ou une autre – plus qu’un « simple merci », mais que, bien malheureusement, contraint par l’étroitesse du lexique à notre portée, nous avions alors pris conscience des restrictions naturelles de notre verbe, et avions été réduits à nous contenter de l’incontournable « MERCI ».
Et c’est ici mon cas. J’aurais tant voulu utiliser la langue des Anges pour vous adresser à chacun et à tous, le mot le plus exaltant qui soit, lequel aurait témoigné majestueusement de ma profonde gratitude. Mais voici que rattrapé par les limites et les conditions de cette humanité à la fois merveilleuse et fangeuse que nous avons en partage, je ne peux que vous prier de bien vouloir accepter mon MERCI dans toute sa grâce, sa splendeur et sa bienveillance.
Ô qu’il est grand et riche de connotations le « Merci », ce mot magique !
Quelqu’un vous fait un bien quelconque…n’oubliez jamais de dire MERCI ;
Au quidam qui vous néglige et vous fait du mal, dites simplement MERCI, et le voilà confondu et contrarié.
Commencez votre journée au saut du lit par dire MERCI et poursuivez –la en distribuant gracieusement et gratuitement des MERCIS jusqu’au soir venu. Retrouvez une fois de plus votre lit en disant MERCI, avant d’abandonner votre corps au repos de la nuit. MERCI vous accompagnera dans votre doux sommeil.
Un MERCI ?
Il ne vous coûte rien, mais rapporte plus que vous ne pouvez l’imaginer. Parole d’un homme qui, du haut de ses soixante et un ans aura blanchi sous le harnais, et qui, sans prétention aucune, s’autorise à dire fièrement : « JE SAIS DONC JE PEUX PARLER ». Tel est mon devoir, et la mission que je me donne pour le temps qu’il me reste à profiter de cette vie si belle à vivre !
DU FOND DU CŒUR UNE FOIS ENCORE MERCI, ET QUE LA VIE CONTINUE !
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