« …il est prétentieux de croire que l’on peut, tout seul, gagner les élections et diriger la RCA. Nous avons tous besoin les uns des autres… » dixit Anicet Georges DOLOGUÉLÉ

Par RJPM

Affaiblis et humiliés par les désastreuses crises à répétition, les habitants de l’ex Oubangui-Chari semblent plus que jamais déterminer à remettre le « train » Centrafrique sur les bons rails. Certes, le retour à l’ordre constitutionnel ne sonnera pas dans l’immédiat le glas de cette fébrilité déclamatoire, mais toutefois il permettra aux futures autorités Centrafricaines de conduire le pays vers un lendemain meilleur. Encore faut-il que le prochain président soit un grand réformiste et non un exécutant. En Centrafrique, tout est à refaire, tout est à reconstruire, tout est urgence et priorité. La lutte contre l’injustice sociale, la discrimination, le népotisme, l’ethnocentrisme, l’égotisme, la pauvreté, l’extrême paupérisation de la population ; la création des conditions pouvant permettre la culture de l’excellence dans la gestion de la chose publique, la bonne gouvernance, la mise à l’étrier des compétences distinctives; le rétablissement de l’équilibre sous-régional, la résurgence de l’état de droit, la sécurité, la restructuration des FACA, la relance économique, le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des belligérants de la crise actuelle, le désenclavement et le développement des villes excentriques du pays telles Birao, Obo, Ouadda Djalé, Ouandanko, Zémio, Rafaï, Derbissaka, ainsi que la lutte contre la LRA de Joseph Kony, la lutte contre les braconniers, sont autant des défis prioritaires les uns les autres et interdépendants, constituant un ensemble auxquel il faudrait apporter des réponses rapides et adaptées.

C’est parce que le candidat Anicet Georges Dologuelé a compris l’enjeu de ces nombreux défis qui s’imposent à la Centrafrique, qu’il a déclaré ceci, lors d’une interview du 20 septembre 2015  : « …il est prétentieux de croire que l’on peut, tout seul, gagner les élections et diriger la RCA. Nous avons tous besoin les uns des autres… » Fin de citation. Les propos du Candidat Anicet Georges Dologuelé traduisent clairement sa vision fusionnelle de la nouvelle Centrafrique. Il appelle aujourd’hui tous les Centrafricains sans exception à fédérer leurs énergies autour de sa candidature.
Face à la calomnie et aux faux débats initiés chaque jour à son encontre, AGD répond par la mise en exergue de la culture de l’excellence qu’il a toujours prôné toute sa vie. Car il estime que seule cette culture de l’excellence pourrait permettre de rompre avec le centrafricano-pessimisme qui nivelle le pays vers le bas.

Très jeune, AGD a compris que l’école était le chemin de la réussite. Ce gongué de Bocaranga de par son père est à la fois Gbaya et Yakoma par sa maman. Il serait souhaitable de préciser qu’il a passé son enfance dans le monde rural. AGD est la preuve d’une réussite par la méritocratie, car il n’est guère né avec une cuillère en or ou en argent dans la bouche comme le prétend ses détracteurs. AGD est un homme qui vient de la Centrafrique d’en bas. Chaque jour, il va à la rencontre de ses compatriotes et avec humilité, il leur explique sa vision de la nouvelle Centrafrique et leur détaille son projet de société. Malgré les coups bas, les injures et les projectiles qui lui sont jetés à la figure, AGD se place en homme de rassemblement épris de paix et appelle ses concitoyens, même ses plus ardents et virulents détracteurs, à le rejoindre pour sortir ensemble la Centrafrique de l’abîme.

Aujourd’hui et plus que jamais, le peuple doit se mettre débout comme un seul homme pour accompagner Dologuélé dans la conquête du Palais de la Renaissance, et demain nous ne pourrons que nous réjouir de notre pays qui se métamorphosera totalement, car AGD est le candidat des actions fortes contre les maux de notre société.

Rodrigue Joseph Prudence MAYTE

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