Grande a été ma surprise d’apprendre furtivement que le quotidien Essor a été édité ces derniers jours et vendu dans le kiosque de Geppic sans mon approbation.Plus grave, l’auteur de cette forfaiture s’est non seulement donné le luxe de me prêter un édito à chaque parution mais de changer également l’adresse électronique du journal et de remplacer les numéros de contact aux siens sans mon consentement.Je tiens par la même occasion à informer mes lecteurs et lectrices que j’avais momentanément interrompu la parution du quotidien Essor pour une raison d’ordre organisationnel. Au moment où nous nous apprêtons à relancer nos activités, un de nos collaborateurs dont je tais encore le nom s’est offert un malin plaisir pour utiliser le label du quotidien Essor pour se tailler une part de lion auprès des sommités nationales qui ont une affection immodérée pour la flagornerie journalistique.Le quotidien Essor n’a nullement pour mission ,l’assouvissement d’intérêt grégaire et égoïste de qui que ce soit. Je demande humblement à ce compatriote d’arrêter cette pratique peu orthodoxe.
J’exhorte le responsable du kiosque de Geppic de ne plus vendre les torchons de cet usurpateur. Nous comptons sur les professionnels de média pour mettre fin à cette technique d’un autre âge.Si cet usurpateur s’obstine, j’utiliserai les moyens légaux pour lui faire entendre raison.
Rodrigue Joseph Prudence MAYTE
Directeur de publication de l’Essor
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